18 décembre 2007
PONTON ROUILLE ET DEROUILLE
Le calme après la tempête. Même lieu, même jour. Je reste toujours étonné de la fragilité de la vanité humaine. On construit, partout, tout et n'importe quoi. On avance sur la mer pour gagner un peu plus de place. Mais au final, c'est toujours l'homme qui est perdant. Quand comprendrons nous que nous faisons partie de la nature et qu'il est inutile d'aller à son encontre?
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